LA FUITE EN AVANT DES EXPERTS DU CLIMAT

Sous ce titre, le quotidien belge « l’Echo » de ce 09 octobre publie un article du Professeur Istvan Marko, Professeur à l’Université Catholique de Louvain, et par ailleurs coordinateur scientifique du livre « 15 vérités qui dérangent ».

La conclusion de cet article montre l’urgence pour les hommes et femmes politiques, de qui dépendent les orientations prises pour notre économie, de se détacher de l’influence des super-puissants lobbies idéologico-politiques environnementalistes qui commandent aujourd’hui le devenir de notre paysage économique.

Voici le texte de cet article .

Jo Moreau.

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Les désastreuses politiques énergétiques qui sont menées en Europe, avec l’appui de certains scientifiques et sous la pression de puissantes ONG environnementales sont la conséquence directe des rapports du GIEC.

Voici une dizaine de jours, le cinquième rapport du GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) était dévoilé en grande pompe à Stockholm. Depuis des mois, les ténors du réchauffement climatique dû à l’homme ont multiplié les exercices de musculation vocale et préparé la planète à la sortie de leur Bible Climatique.

Pourtant, le contenu de ce rapport ne s’écarte en rien des précédents. Il reprend, avec la même monotonie, le même mantra martelé sans cesse depuis des années. « L’homme est responsable du réchauffement climatique actuel ! La faute en incombe à l’usage des énergies fossiles ! Le CO2 est le grand coupable ! Il faut diminuer le taux de CO2 que nous rejetons ! »

Au fil des rapports successifs, la conviction de la culpabilité de l’homme n’a cessé de croître, passant de 50% à 90%, et aujourd’hui à 95% ! Cette certitude est fondée, selon le vice-président du GIEC lui-même, sur une amélioration des modèles climatiques. Cette affirmation est tellement incroyable qu’on en reste médusé.

La validité de ces modèles « améliorés » vient d’être infirmée par l’un des climatologues allemands les plus renommés, le Professeur Hans Von Storch, membre éminent du GIEC. Dans un article récent, il note qu’aucun des modèles du GIEC n’a pu prévoir la pause observée dans le réchauffement climatique durant les 17 dernières années ! Même pas dans un intervalle de confiance de 2% ! Autrement dit, les modèles sont faux à plus de 98% !

Et c’est sur la base de tels modèles qu’on affirme « avec 95% de certitude que l’homme est responsable d’un soi-disant réchauffement climatique !

Entretemps, le CO2 n’a eu de cesse d’augmenter et nous approchons la barre des 400 ppm (parts par million). Durant cette période, et d’après les prédictions coûteuses du GIEC, qui incriminent encore et toujours le CO2, la température aurait dû augmenter de 0,2 à 0,9°C. Hélas, trois fois hélas, elle est à peine montée de 0,1°C, une misère. Dans le même temps, plus d’un tiers de tout l’horrible CO2 émis depuis le début de l’ère industrielle était relâché dans l’atmosphère.

La molécule de la vie

Combien de fois et durant combien d’années faudra-t-il le répéter, le CO2 est produit après une augmentation de la température, pas avant. Il est une conséquence de cette hausse de température et pas la cause. Cette erreur a été récemment reconnue par le Professeur François Gervais, physicien français et membre du GIEC. Il ajoute que, si l’on augmente davantage la quantité de CO2 dans l’atmosphère, cela ne changera quasiment rien à son effet de serre, celui-ci étant arrivé à son maximum. Cette constatation, basée sur les lois de la physique, corrobore ce que d’éminents climatologues ne cessent de dire et de publier : plus il y a de CO2 dans l’atmosphère, moins son effet de serre est important !

Rappelons que le CO2 est la molécule de la vie et que, sans elle, il n’y aurait ni plantes, ni micro-organismes sur Terre. Pas d’humains, non plus. Dans des temps anciens, l’atmosphère contenait bien davantage de CO2 qu‘aujourd‘hui. La preuve par certaines bactéries qui ont dû mettre en place des systèmes de survie pour s’adapter à la diminution du taux de CO2.

Signalons enfin que, durant certaines périodes glaciales, le taux de CO2 était trois à quatre fois supérieur à celui mesuré aujourd’hui, attestant s’il le fallait encore, de son effet de serre minime. Quant aux valeurs « constantes » de l’ordre de 280 ppm d’avant la révolution industrielle, elles résultent d’une sélection précise, guidée par une volonté de démontrer une théorie sur l’influence néfaste de l’utilisation des énergies fossiles. Cette attitude totalement non scientifique est chose courante dans ce domaine où la politique l’emporte sur le scientifique.

Barbecue mondial

L’arrêt du réchauffement climatique, l’écart de plus en plus abyssal entre les prédictions des modèles et les mesures réelles, le décalage entre l’augmentation du CO2 et la halte des températures, la non-fonte totale de la banquise arctique, pourtant annoncée à grands cris pour l’été 2013, et son regel extrêmement rapide qui se matérialise en ce moment, par l’englacement de malheureux navigateurs qui ont cru naïvement aux prédictions des ténors du barbecue mondial, posent de gigantesques problèmes aux décideurs politiques et aux scientifiques acquis à la cause du GIEC.

C’est ainsi que, lors de récentes discussions concernant le dernier rapport du GIEC, les représentants politiques des différents pays présents n’ont pas hésité à proposer de gommer cet hiatus dans le réchauffement climatique (Allemagne), de simplement annoncer que la chaleur est dans les océans (USA, très commode, on ne peut aller la mesurer) ou de ne pas en parler parce que cela donnerait des munitions aux climato-sceptiques (Hongrie). On ne peut que s’émerveiller de la manière avec laquelle ces politiciens tentent de cacher, masquer, ou déformer un fait scientifique avéré mais non expliqué -et non explicable- par les modèles climatiques actuels.

Car c’est bien de politique et d’argent qu’il s’agit. Pas de science. Les désastreuses politiques énergétiques qui sont menées en Europe, avec l’appui de certains scientifiques et sous la pression de puissantes ONG environnementales sont la conséquence directe des rapports du GIEC. Les politiques et les scientifiques qui s’activent dans l’orbite du GIEC ne peuvent faire machine arrière. Car les modélisateurs ne peuvent se passer de leurs crédits, et leurs relais politiques ne peuvent reconnaître publiquement qu’ils (qu’elles) se sont trompé(e)s, sous peine de perdre leur électorat.

 Du GIEC et des ses relais politiques, il ne faut attendre aucun changement.

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http://texquis.com/texquis-essais/22-climat-15-verites-qui-derangent.html

 

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36 commentaires sur “LA FUITE EN AVANT DES EXPERTS DU CLIMAT

  1. Grâce au courage du professeur Marko et de tant d’autres de par le monde, on sent bien que la partie est finie pour le GIEC. Ce n’est plus qu’une question de temps. Espérons que la sinistre comédie se termine avant que les Européens ne basculent dans la plus abjecte pauvreté par la faute des politiques de l’énergie totalement irresponsables qui sont actuellement menées dans des Etats comme la Belgique et, dans une moindre mesure, la France. Bravo aussi à Belgotopia pour l’excellente tenue de ce blog éclairant !

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  2. «  » » » le décalage entre l’augmentation du CO2 et la halte des températures, » » » »
    Cette petite phrase montre l’étendue de l’ignorance du « professeur » Marko. A l’en croire seul le CO2 est responsable des températures. Juste une question, que fait il du soleil ou plus précisément de son activité ? Quand il fait une soupe, il ne met que du sel ?
    Discours idéologique basé sur un abyssal manque de connaissances scientifiques sur le sujet

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  3. Mr Marko et ses camarades sceptiques devraient se tenir un peu mieux informés et peut-être visiter autre chose que la blogosphère sceptique.
    En appliquant le premier précepte de tout bon scientifique, vérifier ses sources, il serait tomber sur cette mise en garde du Professeur Hans Von Storch lui-même sur les « misinterpretations that may have arisen in the blogosphere »:
    http://klimazwiebel.blogspot.no/2013/08/hans-von-storch-and-eduardo-zorita-on.html
    De plus l’article en question même si il semble intéressant n’est qu’un brouillon non publié.
    A force d’utiliser des arguments bidons, même les lecteurs de télé-moustique vont bientôt devenir sceptiques des sceptiques. Merci de vous descendre tout seul.

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  4. Bonjour, comment est-ce possible de mesurer dans Bruxelles en plein ville des concentration de 390ppm en CO2???

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  5. Allez, deux petits liens d’articles plus ou moins directement liés aux politiques énergétique en Europe… Un avant goût de l’avenir vert?
    http://www.rtl.be/info/votreregion/liege/1038907/fin-du-mirage-photovoltaique-wallon-home-vision-proche-de-la-fin-catastrophe-pour-ses-2600-clients?utm_source=info&utm_medium=HP_Headline&utm_campaign=HP_Headline_2
    http://www.bbc.co.uk/mundo/noticias/2013/10/131007_espana_impuesto_solar_wbm.shtml
    @ robert
    « Juste une question, que fait il du soleil ou plus précisément de son activité? » Ah bon? le soleil à une influence? C’est marrant c’est pas dans le tableau des forcages radiatifs du Giec et la composante « eclairement énergétique solaire » n’est que de 0,12W/m2 contre 1,66 pour le CO2. Moi qui commencait a croire que Svensmark était un charlatan…

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  6. Face au mépris et à la condescendance, voir les insultes à répétition dont font preuve Sylvain et Robert j’ai deux questions.
    Sylvain, êtes vous le Sylvain de la clique à van Ypersele, co-signataire de la pétition qui avait pour but d’exclure monsieur Marko de l’UCL?
    Robert, êtes vous le Robert qui infeste tous les blogs climatos, et se fait conspuer partout et surtout sur le blog de S. Huet par les réchauffistes de son bord pour sa totale incompétence en science?
    Dans l’attente de vos réponses pour que les lecteurs de ce blog puissent situer votre niveau d’objectivité et de compétence scientifique.
    Cordialement.

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  7. @ robert
    Correction avant que vous me traitiez de tout les noms… je vois que l’AR5 parle de 0,05W/m2 pour ce qui est du « Changes solar irradiance » et 1,68 pour le CO2, mes autres chiffre c’était l’AR4. Alors oui, on sent bien dans les rapports successifs du GIEC la prise en considération de l’influence de l’activité solaire qui explique la pause de température… reste à trouver la forte retroaction negative qui amplifie cette influence de 0,07W/m2! Je ne doute pas que le GIEC trouvera ce sont des pro en retroaction, à moins bien sur… mais oserais je le dire?!? que ce même GIEC soit passé a coté de quelque chose?

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  8. Le Giec en Belgique c’est la bande à van Ypersele, Bouillon, Berger, des gens si sûrs de leur science qu’ils paniquent devant un débat public, interdisent les conférences de scientifiques sceptiques, et tentent d’exclure leurs contradicteurs des universités. Une bande de pseudos-scientifiques gangrenés et acoquinés avec la politique et les ONG écolos, une bande qui jette le discrédit sur la science par son militantisme, une bande qui a sali le monde scientifique aux yeux du public, une salissure qui mettra longtemps à s’effacer. Honte à eux!

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  9. Bon, j espere que personne ne prendra comme une insulte ce conseil: allez voir le cv du professeur Francois Gervais, c est intéressant. Zero publication scientifique sur le climat et pas membre du GIEC du tout, il s est juste inscrit comme expert auto-proclamé mais n importe qui peut le faire. C est juste une déclaration sur l honneur qui faut faire afin de pouvoir reviewer la version préliminaire des rapports du GIEC.
    Encore une fois les auteurs de 15-verites appliquent les memes techniques: detourner les propos de vrai experts du domaine et citer de faux experts ne publiant que sur des blogs ou dans des livres grand public.
    Et ce qui est cool, c est qu’il n est pas necessaire d etre un expert pour demonter les arguments de 15-verites, il suffit d’un petit peu d esprit critique. En gros, il faut etre sceptique des sceptiques.

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  10. Ben voyons Gervais est un incompétent, par contre Hansen et Mann le sont compétent? Vous vous fichez de la tête de qui Sylvain? Hansen est un militant écolo, par trois fois il fut arrêté dans des manifs écolos aux USA, Mann et sa crosse de hockey, théorie détruite par McIntyre est compétent? Vous sombrez dans le ridicule Sylvain!!
    Le cv de François Gervais.
    273 publications dont
    226 dans des revues à comité de lecture
    5 livres
    5 chapitres de livres
    37 proceedings de colloque et autres publications
    56 conférences invitées, séminaires sur invitation à l’étranger ou conférences de vulgarisation scientifique
    3966 citations (ISI Web of knowledge, incluant chapitres de livres)
    Facteur H(irsch) : 31
    Lauréat du Prix Yvan Peyches de l’Académie des Sciences
    Médaille de bronze du CNRS (Thermodynamique)
    Officier dans l’ordre des Palmes académiques
    High-Temperature Infrared Reflectivity Spectroscopy by Scanning Interferometry,
    F. GERVAIS, Chapter 7 of INFRARED AND MILLIMETER WAVES, Vol. 8,
    Electromagnetic Waves in Matter, Ed. K.J. Button, ACADEMIC PRESS, 279-339 (1983)
    235 citations
    Anharmonicity in several-polar-mode crystals : adjusting phonon self-energy of TO and LO modes in Al2O3 and TiO2 to fit infrared reflectivity, F. GERVAIS, B. PIRIOU, J. Phys. C 7, 2374-86 (1974) – 205 citations
    Displacive-order-disorder crossover at the ferroelectric-paraelectric phase transitions of BaTiO3 and LiTaO3, K.A. MÜLLER, Y. LUSPIN, J.L. SERVOIN, F. GERVAIS, J. Phys. Lettres 43, 537-42 (1982).
    Temperature dependence of plasmons in Nb-doped SrTiO3, F. GERVAIS, J.L. SERVOIN, A. BARATOFF, J.G. BEDNORZ, G. BINNIG, Phys. Rev. B 47, 8187-94 (1993).
    Optical conductivity of oxides, F. GERVAIS, Mat. Sci. Engineer. R (Facteur d’impact 18,97) 39, 29-92 (2002).
    1996-2011 Directeur du LEMA, devenu FRE 2077 en 2000 puis UMR 6157 en 2002
    Laboratoire d’électrodynamique des matériaux avancés
    1981-1982 Institut Max-Planck de Physique des Solides Stuttgart
    1982-1996 Sous-directeur du Centre de Recherche sur la Physique
    des Hautes Températures UPR 4212 CNRS Orléans
    1989-1991 Coordinateur du Contrat Européen ESPRIT II 3327
    Lattice Dynamics of High-Tc Single Crystal Superconductors
    1991-1997 Chargé de mission scientifique CNRS Délégation Régionale DR8
    1996-1999 Directeur du GDR 1208 CNRS Liaison Chimique dans le Solide
    1999-2006 Chargé de mission du Centre National de Recherche Technologique
    CNRT Microélectronique de puissance
    2005-2011 Conseiller Scientifique du Pôle de compétitivité S2E2
    Sciences et Systèmes de l’énergie électrique
    2006-2011 Directeur du Conseil Scientifique du CERTeM
    Centre d’études et de recherche en Microélectronique
    2005-2009 Coordinateur ANR/PNANO/NANOCOMBI
    2006-2009 Workpackage leader du contrat européen STREP/NUOTO
    2009-2013 Coordinateur ANR/PNANO/3DCAP
    2011-2012 Expert reviewer du rapport AR5 du GIEC

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  11. Et alors Sylvain, pas de réponse à ma question sur fonction au sein de la bande à van Ypersele? Qui ne dit mot consent?

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  12. Ah, et ça finit par l’argument massue du complot du GIEC. Mais il faudrait aussi ajouter dans le complot la NASA, le MET office UK, la banque mondiale, des centaines d’institutions scientifiques et quasi tous les scientifiques travaillant sur le climat, bref ça commence à faire beaucoup de monde.
    Quelques sources:
    http://climate.nasa.gov/
    http://www.metoffice.gov.uk/climate-guide

    Cliquer pour accéder à Turn_Down_the_heat_Why_a_4_degree_centrigrade_warmer_world_must_be_avoided.pdf

    De plus, réduire la connaissance du climat à une théorie inventée par le GIEC est juste loufoque. En 1966 déjà, l’académie des sciences américaines avertissait sur le danger des perturbations climatique induite par les émissions humaines: ( http://bit.ly/11eqnRP ). En résumé, il y avait déjà un consensus sur l’augmentation du CO2, un très bon accord entre l’augmentation de sa concentration et les émissions humaines (énergie fossiles) et une explication complète du mécanisme de l’effet de serre. Le rapport indique que plusieurs auteurs ont déjà estimé l’effet d’un doublement de la concentration de CO2, même si de plus amples recherches soient encore nécessaire.

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  13. Pauvre Sylvain, sa seule réponse le sempiternel consensus du GIEC. Ses références, la NASA et le Goddard institue dirigé pendant des années par Hanssen le militant écolo qui bidouillait les données, le MET office officine du CRU le bras scientifique du GIEC. Décidément Sylvain vos arguments restent inchangés la bible du GIEC et des ONG écolos est votre référence, aucune ouverture d’esprit n’est à espérer de votre part. Petit kapo du GIEC vous êtes, petit kapo du GIEC vous resterez,continuez a nier les évidences.

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  14. J’oubiais la banque mondiale, encore une référence de Sylvain, il est vrai qu’à la banque mondiale on ne trouve que des scientifiques spécialistes du climat!!! A moins que la banque mondiale ne base ses études sur celles du GIEC!! On va finir par mourir de rire sur ce blog avec Sylvain aux commentaires!!

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  15. Il ne manque a Sylvain que les références à Panchauri le président du GIEC qui a pour tout diplôme celui de technicien en locomotive diesel et à AL Gore et ses prévisions apocalyptiques qui ne se sont jamais réalisées, et se sera complet dans la tartuferie réchauffiste.

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  16. personne pour m’expliquer pourquoi il y a à certain moment moins de CO2 en plein Bruxelles que sur une ile au fin fond du pacifique???

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  17. Bravo pour cet article.
    Enfin certains osent parler mais surtout, se font entendre.
    Le Professeur Marko « se mouille »… mais qu’a t-il à y gagner ???
    J’ai vu le débat dimanche midi sur La Une … la question lui a été posée… il a répondu qu’il n’obtenait aucun financement de qui que ce soit mais s’insurgeait pour faire triompher la Vérité scientifique sur le sujet en fait…
    j’ai bcp aimé ses paroles alors que Mr VanYpersele s’était débiné et fait comme l’a dit David Clarinval concernant les écolos au Parlement, une sorte de déni de démocratie.
    Bravo à Mr Marko et aux autres qui permettent d’ouvrir un débat sur un sujet très important vu que nos politiques basées sur le réchauffement anthropique entraîne un très net appauvrissement des citoyens.
    Encore bravo !

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  18. Bravo Jo Moreau.Vous vous situez courageusement a contrecourant de la tendance du journalisme francophone au sujet du Réchauffement Climatique.je vous en félicite. Dommage,mais c’est la loi du genre, qu’un débat serein ne puisse se dérouler sur votre blog.Si certains qui se considérent comme les « tenants de la vérité »vous vilipendient,tenez bon!Le public a le droit de connaître les opinions divergentes des « sceptiques ». Ceux-ci ne contestent pas le réchauffement du 20e siécle mais son origine anthropique.La notion de température globale ne veut pas dire grand chose, mais on est bien obligé de s’y référer, même si l’on est sceptique .Deux hémisphères dissemblables l’un fait d’océans,l’autre de continents,allez moyenner tout çà!
    La température de notre bonne Terre est sans cesse à la recherche de son équilibre,mais quel est-il? Est-ce celui du Petit Age Glaciaire ou celui de l’Optimum Médiéval? Nul ne le sait.
    Le dernier rapport du GIEC ne répond pas aux attentes sur la question de la pause observée en ce début du 21e siècle,on nous propose comme explication un stockage important dans l’océan!Ceux-ci se réchauffent,ils se dilatent,mais alors le CO2 est moins soluble,il sera largué en quantité plus importante que le CO2 anthropique.Encore plus de CO2!
    Décidément,le dernier rapport du GIEC laisse le public sur sa faim.La climatologie n’ est pas la science aboutie comme le clament certains,elle en est a ses balbutiements et n’est pas mûre pour servir de guide pour des décisions politiques importantes.

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  19. A vous, Robert et Sylvain, comment se fait-il que vous n’essayiez pas de participer à un debat face à face avec Mr Marko, ou également d’écrire un livre pour prouver vos petites théories tellement légères qu’un enfant de 12 ans pourrait les démonter…?
    Il est tellement facile de critiquer à travers un écran, assis sur sa chaise, mais allez les affronter en vrai.
    Mr Marko ainsi que les autres climato-sceptiques ont émis une théorie, qui, contrairement au Giec, arrivent à démontrer sur base de faits scientifiques, et font des recherches afin d’aller plus loin, pour enseigner, pour apprendre aux jeunes d’aujourd’hui que tout n’est pas vérité, qu’il faut avoir un esprit critique, même face à une influence telle que le giec, voilà pourquoi ils se battent.
    Qu’ils continuent comme ils le font, moi, je crois en eux, et encore plus en Mr Marko.
    Sylvain, Robert, à vos plumes, on attend vos oeuvres avec grande impatience 😉

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  20. A.E.M
    «  » » » ou également d’écrire un livre pour prouver vos petites théories tellement légères qu’un enfant de 12 ans pourrait les démonter…? » » » »
    Nul besoin de le faire, le rapport du GIEC est parfait.
    «  » » » oMr Marko ainsi que les autres climato-sceptiques ont émis une théorie, » » » »
    Dans quelle revue est elle publiée ? Un bouquin n’est pas revu par les pairs, il permet de dire n’importe quoi, vous avez des exemples frappants avec les bouquins de Allègre, Rittaud, Bénard (le père) etc…

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  21. Le rapport du Giec, parlons-en, surtout par exemple du 5ème :-). Celui qui a fait marche arrière sur l’alarmisme climatique par exemple…?
    Voulez-vous vraiment vous cacher derrière ce rapport…?
    Si il n’y avait eu que le livre, je n’aurai relevé, mais depuis ce livre, bien des débats radios et audio-télévisés ont eu lieu, et très bizarrement, le giec a chaque fois annulé le débat quand Mr Marko en faisait partie (à ne citer que lui, d’autres également).
    Comment expliqueriez-vous cela…? Car il ne s’agit pas d’une fois ou deux, mais bien à chaque débat.
    Je dirai (mais cela n’engage que moi) que vu le très gros manque de faits scientifiques dont sont constitués les rapports du Giec et au contraire, le bagage scientifique des climato-sceptiques, le Giec a preferé se retirer pour éviter une humiliation publique…

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  22. Pathétique, Robert et ses commentaires du même niveau que Sylvain, les sceptiques ne sont pas publiés,ils sont incompétents en matière de climato. Et Lindzen, Salby, Curry, ils sont incompétents? Par contre jamais vous ne lirez Robert s’en prendre à Hulot, Arthus Bertrand,Etienne, ni d’ailleurs aux études biaisées de Greenpeace intégrées dans les rapports du GIEC. Pour Robert et Sylvain, le bon peuple ne doit pas chercher à savoir, la vérité ne vient que du GIEC. Robert et Sylvain nous prennent pour des c…

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  23. @ Sylvain
    J’ai commencé à lire l’article (peer viewé ? au moins par vous apparemment) que vous avez posté. Je n’ai pas lu le livre de François Gervais et ne peux donc pas remettre les passages cités dans leur contexte…
    Je lis cependant déjà de l’article que vous citez donc : « L’auteur assure que c’est la température qui pilote le dioxyde de carbone (CO2) et qu’en d’autres termes c’est la hausse des températures qui conduit au « dégazage de l’océan » – donc à l’augmentation de la concentration atmosphérique en CO2. Celle-ci ne serait que marginalement la conséquence des activités humaines. C’est une théorie tout à fait révolutionnaire et il est regrettable que l’auteur ne l’ait pas publiée dans une revue scientifique… (…) Car, si l’océan « dégaze » du CO2, comment expliquer alors les nombreuses observations montrant l’augmentation continue de la quantité de carbone dans l’océan, qui se manifeste notamment par son acidification »
    Vous excuserez le pauvre citoyen que je suis (et qui attend encore des réponses quant aux mesures à prendre !) de chercher à se renseigner… Je suis donc allez voir sur un site (23dd) auquel on pouvait accéder via « Désintox » que vous recommandiez par ailleurs. Le lien philosophico-scientifique entre ces deux sites n’est pas clair peut être pourrez-vous nous éclairer, 23dd appartenant il à l’UCL ? En outre le site « Désintox » n’est plus accessible depuis plusieurs heures…
    Sur 23dd (http://23dd.fr/climat/histoire-rechauffement-climatique/103-histoire-de-la-decouverte-du-rechauffement-climatique-leffet-de-serre-et-le-co2-v) donc, on peut lire :
    « D’autres carottes de glaces extraites dans les années 1990 en Antarctique montrèrent que la hausse initiale des températures, à cet endroit du moins, avait précédé l’augmentation du CO2. À mesure que la précision des mesures augmentait, ce décalage fut confirmé. Cela semblait ruiner l’idée que la hausse de la concentration en CO2 était la cause du réchauffement… Mais en réalité, cela n’était pas une bonne nouvelle pour le climat (…) C’est alors que de nouvelles carottes de glaces suggérèrent qu’un léger réchauffement pouvait provoquer une modeste augmentation de CO2. Celle-ci suffisait à déclencher ce que les scientifiques appellent des rétroactions positives en chaine : une cause entraine un effet qui en retour accentue la cause elle-même, ce qui accentue encore l’effet, et ainsi de suite. Cette boucle de rétroaction positive peut provoquer ainsi une forte amplification du signal de départ, ce dernier ne servant que de déclencheur. Un peu comme la gâchette d’un pistolet : ce n’est pas cette légère impulsion qui provoque l’énergie de la balle, mais elle suffit pour mettre le feu à la poudre.
    Une légère augmentation des températures amènerait les océans à évaporer plus de CO2 et la toundra de l’Arctique à libérer du CO2 et de méthane. Cela accentuerait le réchauffement initial, qui à son tour renforcerait les émissions de GES… Et ainsi de suite pendant plusieurs milliers d’années. »
    Je me perds en conjecture entre ce que disent les uns et les autres…
    Deux questions en outre :
    – Suivant ce que dit l’auteur de l’article que vous citez les océans continue à absorber du CO2, or de par la hausse de température (n’oublions pas que le GIEC pense que la chaleur « perdue » s’y réfugie, ne devraient-ils pas émettre du CO2 ?
    – Suivant ce que dit l’auteur de 23dd et pour reprendre son image, vu tout ce que nous avons déjà émis et l’impressionnante hausse de température depuis 1850, que se passe t’il avec la « gâchette » ?

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  24. (suite)
    Un peu plus loin, toujours selon l’auteur de l’article que vous citez : « Selon la NOAA, les années 2012, 2007, 2006, 2005, 2001, 1999 et 1998 comptent au nombre des dix années les plus chaudes enregistrées outre-Atlantique depuis 1895. »
    Dans ce genre de liste, qui relève plus de la météorologie que de la climatologie, ce qui est toujours dommage c’est que le classement, par exemple de la plus chaude à la moins chaude, n’est pas indiqué or il y a peut-être une tendance sous-jacente… Si je compte bien je n’ai que 7 des dix années les plus chaudes enregistrées outre-Atlantique depuis 1895 quel sont les trois autres ?

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  25. (suite)
    Plus loin encore l’auteur ironise sur « Il évoque la position du Soleil par rapport au centre de masse de la galaxie, qui est donc une fonction de la position des planètes. »
    Je ne m’étendrai pas sur la confusion que génère la partie « position des planètes » qui semble hors propos.
    A nouveau le simple citoyen cherche à se renseigner et tombe sur les pages 93 et 94 du livre « le climat de la terre » du Professeur Berger traitant de la transparence du milieu interplanétaire … On y retrouve bien des considérations quant à la position du système solaire au sein de la galaxie et les influences sur le climat passé. Certes M. Berger indique que l’hypothèse est controversée, il n’en attribue pas moins plusieurs paragraphes et évite soigneusement le dénigrement autain.

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  26. @Vistodelperu
    Les océans absorbent en effet une bonne partie du CO2 émis par les activité humaine mais à un rythme de moins en moins important car sa capacité à stocker le CO2 diminue avec la température.
    Si vous avez bien compris la boucle de rétroaction, vous ne seriez peut-être plus si sceptique vu les emballements déjà observés pour d’autres périodes de réchauffement: rejet massif du méthane de la toundra, transformation des océans en émetteur de carbone,…
    Vous voyez que quand vous arrêter de troller je réponds.

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  27. Apparemment des choses sont dites sur l’antarctique mais l’auteur de la note est confus à ce propos… En bon citoyen, j’attends toujours des commentaires sur l’évolution de la banquise dans cette partie du monde…
    Plus loin l’auteur de l’article indique « L’énergie provenant de la surface est déposée à une altitude de quelques kilomètres. Au-dessus, ce sont les processus radiatifs qui dominent et c’est là que l’effet de serre prend tout son sens. Ce n’est pas une notion simple”
    Quel dommage, outre que cela a un petit côté c’est vrais puisque je le dis, j’aurais souhaité quelques commentaires en plus pour bien comprendre justement!

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  28. @ Sylvain
    Ohh, vous savez la notion de « troll » qui vous est si chère est bien relative et semble surtout pour vous un refuge pour ne répondre que et uniquement à ce qui vous arrange et éviter soigneusement les questions qui dérangent…
    Au-delà de cette petite polémique que vous accepterez de mettre de côté je souhaite revenir à la question citoyenne la plus intéressante qui me taraude.
    Je peux tenter de reformuler cette question sous une forme qui vous serait grée :
    Puisque nous croyons bien (je ne parle plus de pensée mais de croyance) que sommes au bord de la poêle à frire et que nos enfants voir petit enfants sont condamnés à vivre dans l’enfer apocalyptique surchauffé que nous allons leur céder (est-ce suffisamment alarmiste ou dois-je en remettre un couche ?), quelles solutions rédemptrices concrètes, pragmatiques et efficaces nous proposez-vous dès à présent (après il sera trop tard à cause de la « gâchette ») pour éviter cette catastrophe futur (2100) sans engendrer maintenant (2013) d’impacts sociaux, environnementaux et financiers pires à l’échelle mondiale ?

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  29. @ Sylvain,
    Je vois que vous n’avez malheureusement pas grand-chose à proposer pour répondre à ma question… Vous êtes bien évidemment libre de venir vous exprimer sur un blog libéral (c’est en soit une de ses qualités ne vous en déplaise, au contraire d’autres sites qui imposent des filtres tel que : « Les procès d’intention, le dénigrement, quel que soit l’objet visé, les allégations sans faits précis, ne sont pas acceptés. ») on regrettera que vous ne trouviez par simple éducation d’appliquer ces quelques règles de base…
    Je disais donc que vous n’avez que bien peu de chose à proposer comme SOLUTION. Cela fait de vous un piètre vendeur. Je vous accorde que le produit (RCA) n’est guère « sexy » et est particulièrement compliquer à vendre ! Il n’empêche, si vous n’assurez pas de service après-vente comment voulez-vous que je m’anime à « acheter » ledit produit ?
    Vous tenterez bien de justifier votre silence en me qualifiant de « troll ». Il faudra malheureusement trouver un autre argument pour justifier votre silence ! Je vous invite ainsi à prendre connaissance de la définition du troll sur Wiki par exemple. Je cite :
    « En argot Internet, un « troll » est une personne qui participe à une discussion ou un débat (par exemple sur un forum) dans le but de susciter ou nourrir artificiellement une polémique, et plus généralement de perturber l’équilibre de la communauté concernée »
    Le présent blog se voulant « climatosceptique » (même si plus généralement on pourrait considérer qu’il se veut climato-réaliste, question de point de vue) on se demande qui est le troll qui participe par son dogme « réchauffiste » à perturber l’équilibre de la communauté concernée …
    Le deuxième paragraphe de la définition de Wiki nous éclairera encore un peu plus :
    « L’expression peut aussi s’appliquer à un message (…) auquel on ne veut pas répondre et qu’on tente de discréditer en le nommant ainsi. »
    En attente donc de vos propositions (répondant aux quelques critères raisonnables que j’ai exposés précédemment, je vous salue bien cordialement

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  30. @ Sylvain
    Toujours rien à proposer?
    Bon, moi je continue a regarder tout ca d’un peu plus près…
    Vous dites: « Les océans absorbent en effet une bonne partie du CO2 émis par les activités humaines mais à un rythme de moins en moins important car sa capacité à stocker le CO2 diminue avec la température. »
    Ok ok, et donc c’est là qu’intervient la fameuse «gâchette» qui va générer le futur emballement… avec la transformation des océans en émetteur de carbone,…
    Avant d’aller plus loin, il doit y avoir une petite question de chimie sous-jacente que vous nous confirmerez :
    CO2 + H2O H2CO3 + O2
    Plus de CO2 dans l’eau donne plus d’acide (1) que l’on voit clairement (2) sur la Figure SPM.4(b)
    A contrario si moins de CO2 dans l’eau, l’équation se rééquilibrera vers la gauche laissant moins d’acide dans l’océan.
    Uh uhmm… donc si les océans deviennent émetteurs de carbone, leur pH va remonter alors ! Je me dis que je dois pouvoir retrouver ca et la fameuse «gâchette» au moins pour le pire scénario du GIEC (RCP 8.5) sinon pourquoi tout ce foin ?… Allons voir ! Figure SPM7(c)… Zut ! Même pas… (4) A contrario SPM7(c) via le pH nous donne même de bon espoir de captation futur de CO2 !
    Malgré tout, toujours très préoccupé par cette fameuse «gâchette» je me dis que je dois bien la retrouver quelque part… je retourne donc voir les graphes issus de l’analyse des glaces de Vostok (5)! Et plusieurs choses surprenantes apparaissent :
    a. Si je regarde aux alentours de 140.000 BP on voit bien un tir (augmentation de T° suivi d’une hausse de CO2) mais on voit aussi peu de temps après une «contre-gâchette» (6) qui stoppe la hausse de température (7) le tout suivi par une chute de T° suivie d’une diminution du CO2… le même cycle se voyant pour les périodes antérieures (à droite sur le graphique)
    b. La «gâchette» de température semble se déclencher aux alentours d’une anomalie de -6° la « contre-gâchette » agissant elle plutôt aux environs de +2° (mais sa répétition dans l’histoire n’est peut-être qu’un hasard…)
    c. On voit bien aux alentours de l’époque actuelle la hausse importante du CO2 et du CH4, les auteurs du site (5) soulignant même les valeurs atteintes par des astérisques… mais les températures elles stagnent depuis un certain temps (signe me dira-t-on que les émissions de CO2 ne sont plus naturelles, certes !!!… mais ces émissions ne semble pas jouer non plus sur les températures…). Parlant d’une «gâchette» qui permet de faire feu, il semble alors falloir s’intéresser à l’arme ! Et là on est plus sur le vieux mousquet à chargement frontale que sur un fal de Herstal !
    Là où il y a encore quelques années les choses semblaient très (trop ?) claires : Voyez les glaces de Vostok, le CO2 monte les températures suivent (je pense que s’était même le propos d’un film réalisé par un politicien, je n’avais pas réalisé qu’il s’agissait d’une œuvre de science-fiction à l’instar de « le jour d’après ») repentez-vous et achetez des indulgences ! Il semble à présent que les choses sont plus confuses et qu’il faut bien de contorsions pour maintenir le dogme à flot.
    Avant même de répondre par quelque forme que ce soit, commencez par nous faire part de vos projets salvateurs (répondant aux quelques critères raisonnables que j’ai exposés précédemment)
    Notes :
    (1) Malgré l’ajout d’acide notons tout de même que les océans restent franchement « basique » (pH de plus de 8), sémantiquement parler « d’acidification » des océans ne serait-il pas un peu abusif la « tendance » (pour peu qu’il y en ait une, voir note 2) étant vaguement et encore très loin à la neutralisation (pH7)
    (2) Cette bonne visualisation de « l’acidification » (voir note 1) semble plus due à un facteur d’échelle du graphe qu’à une réelle évolution du pH. Pour qui a un jour fait de la titrimétrie ou utilisé un pHmètre (peut être le professeur Marko pourra t’il au vue de sa formation nous éclairer sur ce point) le degré de précision du GIEC est quelque peu surprenante (d’autant que l’erreur sur la mesure n’est pas indiquée… voir note 3). En appliquant correctement l’arrondi sur la mesure considérant une précision de 0.1 (supposant comme je suis gentil que les mesures ont été réalisées avec soin) on obtient donc l’évolution particulièrement sensible et tout autant alarmante pH1990 : 8.1, pH2011 : 8.1…
    (3) J’ai trouvé ce petit commentaire intéressant : « nous soulignerons la différence entre la résolution d’un pHmètre et la précision de la mesure. (…) La précision sera donc moins bonne que la résolution du pHmètre. (…) D’une manière générale on peut considérer que la précision d’une mesure courante du pH réalisée AVEC SOIN est de l’ordre de 0,1. » (p2-3 http://www.leaderwallonie.be/upload/F_20051028_091414_.pdf).
    (4) Au passage dans notre inconscience et malgré tout le CO2 émis, nos océans qui n’avaient vraiment pas besoin de ça seront encore loin de la neutralité !
    (5) http://23dd.fr/climat/histoire-rechauffement-climatique/102-histoire-de-la-decouverte-du-rechauffement-climatique-leffet-de-serre-et-le-co2-iv
    (6) Existeraient-ils un quelconque facteur que nous aurions perdu de vue ?
    (7) Ce qui est gênant dans un théorie d’emballement… Mais les plus tordu dangereusement climatosceptique me diront que j’aurais pu m’en rendre compte par la logique (qui n’a pas besoin d’être peer-viewée), puisqu’aucun des « emballements » passés n’a conduit notre planète à la situation de Venus

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  31. Dans mon post précédent se sont perdues les flèhes de l’équation:
    CO2 + H2O ——- H2CO3 + O2

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  32. @Vistodelperu
    C’est un peu facile de raconter n’importe quoi sur un graphique de Vostok qui date de plus de dix ans. Il ne suffit pas de voir des creux et des bosses pour feindre de savoir de quoi on parle. Pourtant vous aviez de quoi mieux vous informer si j’en crois la page que vous avez cité : http://23dd.fr/climat/histoire-rechauffement-climatique/103-histoire-de-la-decouverte-du-rechauffement-climatique-leffet-de-serre-et-le-co2-v . Dans le commentaire du graphique en haut de la page, il est dit que le largage du CO2 par l’océan est un effet indirect de la hausse de température et qu’il est dû à la modification des courants océaniques. La gâchette en question, ou déclencheur, est une modification de l’ensoleillement au nord. Cela déclenche d’après l’étude citée toute une série de phénomènes.
    Mais surtout vous omettez de parler des éléments fondamentaux qui vous dérangent : les modifications cycliques de l’ensoleillement qui expliquent la régularité (cycles de Milancovitch) ne peuvent pas avoir provoqué un réchauffement global car l’ensoleillement global n’a pas augmenté. Seule l’insolation du pôle nord augmente. D’où l’idée que ce n’était qu’un déclencheur. Enfin vous ne dites pas que contrairement à ce qui disent les climato-sceptiques, cette étude a prouvé que la hausse globale a suivi l’augmentation de CO2. Ca vous embêterait de reconnaitre que vous avez eu tort ? La page que vous citez le dit, alors pourquoi ne le dites-vous pas ? Vous citez les extraits qui vous arrangent et vous faites silence sur ce qui vous dérange.

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  33. @ L’ami des autruches
    D’abord, j’ai pris l’habitude de m’intéresser plus aux graphes qu’au texte des sites carbophobes simplement parce que sur ces sites on peut trouver des textes qui disent parfaitement l’inverse de ce que montrent les graphiques.
    Je suis néanmoins retourné sur la page Co2-V et j’y lis : «Cette boucle de rétroaction positive peut provoquer une forte amplification du signal de départ. Ce dernier n’est alors qu’un déclencheur. Un peu comme la gâchette d’un pistolet : ce n’est pas cette légère impulsion qui provoque l’énergie de la balle, mais elle suffit pour mettre le feu à la poudre.
    Une légère augmentation des températures amènerait les océans à évaporer plus de CO2 et la toundra de l’Arctique à libérer du CO2 et du méthane. Cela accentuerait le réchauffement initial, qui à son tour renforcerait les émissions de GES… »
    Intéressant… Discours classique de l’alarmiste qui en plus doit se contorsionner pour sauver les conneries racontées par Gore et consort… et essayer de dire que oui le CO2 suit de 800 ans l’évolution des températures mais en est la cause…

    Mais…

    Actuellement les océans ne relâchent pas encore plus de CO2 qu’ils en absorbent … pas plus que la toundra de l’Arctique ne libères encore du CO2 et du méthane (puisque l’on nous promet que c’est ce qui nous attend si on continue à émettre du CO2…)
    Bien, …
    Reprenez le graphique de Vostok, vous verrez que la gâchette qui devait enclencher tout ce cycle, c’est activée pour la dernière fois il y a environ 20000 (reprenez les courbe de Vostok) a un delta T° de -7,-8 et depuis 10000 ans on est sur des cycles de hausse et de baisse de température entre -2 et 2 °C.
    Maintenant il faut savoir ce que l’on veut !:
    « Une légère (combien ?) augmentation des températures amènerait les océans à évaporer plus de CO2… » On est 7 à 8° au-dessus de la température ou les océans devraient dégazer suivant les élucubrations de « 23dd » mais, coquin de sort, les océans absorbent encore du CO2 et suivant le GIEC pour longtemps encore si l’on regarde les projections de pH….
    Vous pouvez continuer à vous mettre la tête dans le sable avec vos amis carbophobes, mais il faudra trouver mieux pour prétendre que j’ai tord…

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